Oscar

Oscar est l’exemple type du théâtre de boulevard réussi, qui repose entièrement sur le comique de situation.

Christian Martin, modeste comptable dans une grande société présidée par  Bertrand Barnier, surprend son patron de grand matin, afin de lui demander une substantielle augmentation.

Martin est en effet sur le point de demander la main d’une jeune fille, et n’ose se présenter devant le père de cette dernière avec un simple salaire d’employé.

Après quelques tergiversations, Barnier cède et accorde à Martin son augmentation. C’est alors que celui-ci lui annonce que la jeune fille qu’il compte épouser est justement la fille de Barnier.

La suite sur les planches où s’enchaînent les emportements de Barnier, les aveux du comptable qui devient maître-chanteur, les idées lumineuses de la bonne, les caprices de la fille de Mr Barnier, une seconde amoureuse de Christian… et trois valises qui se ressemblent étrangement mais dont le contenu est sensiblement différent.

Le masseur parviendra-t-il à détendre quelque peu Barnier et globalement l’atmosphère du moment ?