Agenda

Chemin Faisant met en lumière les paysages et les habitants de Libramont à travers quarante diptyques en noir et blanc, réalisés en fin d’hiver. Chaque oeuvre associe un portrait d’habitant à la vue qu’il contemple depuis un banc, jouant sur le champ et contre-champ.
L’artiste partage ainsi sa rencontre chaleureuse avec les gens du cru et invite à redécouvrir la beauté de la commune.

Filmystère ? Quèsaco ? Le Filmystère est un film d’auteur présenté en version orginale avec sous-titres français sorti en salle durant l’année écoulée, et dont vous ne découvrez le titre qu’une fois assis.e dans la salle.
Le Filmystère n’est donc pas une sneakpreview d’un nouveau film 😉

Le Filmystère vous l’appréciez après une présentation et vous en discutez avec les autres spectateurs, après la projection, autour du bar et avec une dégustation en lien avec le film.

Et en plus, vous participez à un tirage au sort qui vous permettra peut-être de gagner une entrée gratuite pour un des spectacles du Centre culturel le Totem.

Alors vous attendez quoi pour réserver votre place ? On vous attend !

Cliquez sur ce lien pour connaître les Filmystères passés.

Et pourquoi ne pas célébrer la fête celtique Samonios au cinéma ? Passer de la lumière à l’ombre, c’est plus facile dans une salle obscure non ?
Durant cette journée, quatre films seront proposés (dont deux avant-premières) à tous les publics pour frissonner un tout petit peu, un peu, beaucoup et passionnément !

A 14h, pour frissonner un tout petit peu
Le Gruffalo (dès 3 ans)
Au cœur d’une forêt pas très rassurante, une maman écureuil raconte à ses enfants, pour les apaiser, une histoire de souris et de monstre : « C’est l’histoire d’une petite souris qui se promène dans un bois très sombre… Elle rencontre un renard, un hibou et un serpent qui la trouvent bien appétissante et l’invitent chacun leur tour à déjeuner dans leur demeure, avec une idée de festin à la souris derrière la tête. Mais la petite souris, très maligne, prétexte un rendez-vous avec… un Gruffalo ! Mais au fait, c’est quoi un Gruffalo ? »
En Angleterre, le livre pour tout petits Gruffalo fut un énorme succès de librairie. L’adaptation cinéma est à la hauteur : elle a remporté de nombreux prix et fut nommée aux Oscars. Avec la voix de Zabou Breitman, les aventures de la petite souris la plus ingénieuse de la terre, servies par une magnifique animation aux textures d’une grande richesse tout en fluidité, enchanteront les tout petits.

A 13h30, pour frissonner un peu
Coco (dès 8 ans)
Malgré le fait que sa famille ait banni la musique depuis des générations, Miguel rêve de devenir un musicien accompli comme son idole Ernesto de la Cruz. Désespéré de prouver son talent et suite à une mystérieuse série d’événements, Miguel se retrouve dans le coloré et éblouissant territoire des morts.
Séance spéciale incluant une présentation et une animation à destination des enfants. Dans le cadre des P’tits Totems – Ciné-Club du cinéma le Totem en partenariat avec L’asbl La Loupiote (durée de la séance animation comprise : 2h30).

A 18h, pour frissonner beaucoup
De nature violente
Lorsqu’un groupe de jeunes insouciants déterre un ancien médaillon dans la vaste nature sauvage du Canada, ils libèrent sans le savoir quelque chose qui aurait mieux fait de rester enfoui… Depuis l’ombre de la forêt, Johnny surgit : un tueur mystérieux et surnaturel, animé par un seul but — une vengeance sanglante. Mais qu’est-ce qui rend ce film vraiment unique ? Cette fois, tu ne suis pas les victimes. Tu regardes à travers les yeux du monstre. Lentement, menaçant, presque serein, Johnny avance dans le paysage, tandis que la tension monte et que les massacres deviennent de plus en plus atroces. Pas de musique assourdissante ni de hurlements hystériques, seulement le silence de la forêt, le craquement des branches… et la certitude qu’il n’y a plus d’échappatoire.

A 21h, pour frissonner passionnément
Sneakpreview mystère

Un beau dimanche.
Un homme, une dame, un plan d’eau peu fréquenté.
Ici, on est bien.
Mais quel est cet Ici qui regorge de surprises aquatiques, terrestres et climatiques ?
Ici est bienveillant.
Et si cette bienveillance pouvait traverser les eaux…
Un message de bonheur simple nous embarque dans un paradis où chaque tout petit vivant trouve place à sa mesure.

Dans un merveilleux décor lacustre de carton, les deux flâneurs poussent la chansonnette, apprennent à manier l’appât, subissent d’étranges métamorphoses. En barque glisse sur l’eau avec une douceur clapotante. Emporté dans un courant délicieusement fantasque, on croise des hérons farceurs, des canards imperturbables, des rossignols enchanteurs, des grenouilles qui se croient à The Voice avec un roseau en guise de micro. Bref, ce spectacle, c’est une sacrée bonne pêche !
(Catherine Makereel, Le Soir)

En collaboration avec notre partenaire, le magasin Le temps de rêver, nous vous invitons à découvrir les nouveaux jeux de société mais aussi les valeurs sûres…

Encadrés par des passionnés, cet après-midi (de 13h30 à 17h30) sera l’occasion pour vous, de découvrir et essayer les dernières nouveautés, les jeux primés et les succès annoncés pour les fêtes de décembre. Des tous premiers jeux de société aux plateaux très élaborés, il y en a toujours pour tout le monde, quel que soit l’âge ou le niveau, le temps dont on dispose où la stratégie à développer.

Une cinquantaine de jeux sont déballés sur les tables et n’attendent que les visiteurs pour entamer une partie.

L’entrée est gratuite mais l’inscription est obligatoire.

Émilie Magnan a grandi à Bertrix. Âgée de 25 ans, l’artiste a étudié le dessin à l’ENSAV La Cambre, à Bruxelles. Passionnée par la nature, le monde et les êtres qui l’habitent, elle observe et contemple, traduisant ses impressions en images où le corps humain occupe une place centrale.

Cette rétrospective invite à plonger dans son univers, où fragilité et dignité s’entremêlent. Ses dessins de grand format sont avant tout des rencontres,  un face-à-face silencieux avec un modèle, un regard, une histoire.

Le dessin, son médium de prédilection, se déploie souvent à l’échelle humaine. Les yeux, qu’elle aime mettre en valeur, fixent parfois directement le spectateur, parfois s’évadent ailleurs, laissant deviner des émotions feutrées : stupeur, fierté, langueur. Les corps qu’elle représente portent parfois des marques — ecchymoses, éraflures — témoins de vies traversées. Pourtant, malgré ces blessures, ils conservent leur sensualité et leur vitalité, comme un refus discret de se réduire à la douleur.

Ses figures évoluent entre deux univers : le silence d’un fond blanc, où tout semble suspendu, et la densité d’espaces saturés, presque en collage, dont elles émergent avec force. La figure de la poupée traverse son travail, inspirant des postures hiératiques et des atmosphères hors du temps. Les enfants y tiennent une place importante, porteurs à la fois d’innocence et de questionnements sur l’avenir.

Sa palette de couleurs, douce et pâle, évoque les symbolistes du début du XXᵉ siècle. Dans cette délicatesse, elle fait dialoguer le vide et le plein, la tendresse et l’inquiétude.

Cette exposition retrace un parcours intime, où maternité, enfance, solidarité et silence se répondent. Chaque œuvre est une invitation à regarder autrement, et à accepter, peut-être, d’être regardé à son tour.

Le dragon a entre treize et dix-huit ans. Il ressemble aux enfants normaux. Il est comme tout le monde mais tout le monde a décidé qu’il était différent. Il croit qu’il est seul au monde parce qu’on ne lui a pas dit qu’il y avait sur terre d’autres dragons. En réalité, ils sont légion.

Horizon+, hôpital psychiatrique pour adolescents. Un centre bien caché du monde normal. C’est là qu’atterrit, sur décision de justice, un jeune garçon en colère. Il a 15 ans. L’âge où la vie commence.
Hospitalisée, elle aussi, Colette veut mourir. Peu importe. Il va la sauver. Et elle le sauvera aussi.
Mais souvent, écrivait Steinbeck dans Des Souris et des Hommes, les plans les mieux conçus ne se réalisent pas…

Les dragons est écrit à partir de vraies et belles rencontres. Jérôme Colin – animateur à la RTBf et auteur du Champ de Bataille – y parle du surgissement de l’amour dans nos vies. Et dresse le portrait d’une jeunesse exclue, mais qui sait rester tendre et solidaire à l’égard d’elle-même.

En plein cœur de la forêt libramontoise, se situe un lieu insolite au nom bizarre. Un espace fait d’herbes et de zones humides traversé par un ruisseau ; une vaste clairière qui a résisté à l’envahissement par les épicéas.
Sanctuaire de biodiversité, l’endroit a été classé en Réserve Naturelle Domaniale sous la dénomination : « Fagne des Anomalies ». Mais de quelles anomalies s’agit-il ?
Avant de lever le voile sur cette énigme, sera présentée l’histoire de cette fagne constituée d’une mosaïque d’habitats naturels dont des tourbières qui sont de véritables puits de carbone bien utiles pour le climat. On y trouve une flore exceptionnelle avec des espèces rares et protégées telles la drosera, une plante carnivore. Ce site de l’Ardenne centrale héberge aussi les plus vieilles roches de Belgique âgées de 500 millions d’années.

Ce stage ouvre une porte vers un nouvel univers chorégraphique, celui de Corentin Milosevic de la Compagnie Padmë.

La recherche chorégraphique de Corentin s’ancre dans le corps comme lieu de mémoire et de tension, toujours en quête d’une danse brute, sensible et sans artifice. Elle explore ce qui nous traverse : la fragilité, la force, l’étrangeté et la poésie du geste.
Depuis quelque temps, son travail s’ouvre à la musique électronique comme espace d’ancrage et de transformation. Ses pulsations, ses textures et ses vibrations deviennent un moteur qui impulse le mouvement, intensifie les états de corps et installe une relation presque hypnotique avec le temps et l’espace.
La danse dialogue alors avec ces paysages sonores, entre énergie et relâchement, entre transe et silence. Ce qui anime le chorégraphe, c’est de créer des espaces d’expérience, où l’interprète comme le spectateur sont invités à plonger dans une matière à la fois physique et sensible, où chacun peut trouver sa propre résonance

Au programme :

• immersion dans l’univers artistique de Corentin et des stagiaires ;
• exploration de la spontanéité, de l’écoute et de la créativité à travers l’improvisation ;
• expérimentation de matières de mouvement, d’énergies et de qualités nouvelles ;
• travail technique et recherche d’interprétation pour nourrir votre créativité.

Ce stage sera aussi une première rencontre et une préparation avec celles et ceux qui souhaiteraient passer l’audition pour le laboratoire chorégraphique Ballismos, qui aura lieu les 24 et 25 janvier 2026.

Pour entrer dans cette histoire, il te faut d’abord passer par un parc, emprunter ses chemins, croiser des promeneurs, les animaux qui y vivent.
Dans ce parc, il y a un arbre. C’est l’arbre à branches. C’est un arbre dont les branches ne poussent pas vers le ciel. Elles poussent couchées, tu peux t’allonger dessus, c’est comme une cabane pour te cacher.
Blottie au milieu de ces branches, tu penses à la course de caisse à savon à laquelle tu veux participer durant la fête annuelle du parc. Puis tu penses à ton papa qui a perdu ses yeux. Tu te revois courant autour de lui pour lui apprendre à marcher sans voir.
De là-haut, tu regardes ton père qui tourne et se retourne, il ne te voit pas.

Dans un espace où fils électriques et fils narratifs s’entremêlent, une fillette découvre qu’elle peut dire non à son père et que, grâce à ses amis, il n’est pas de chemin dont on ne peut revenir.

L’Histoire de la fille qui ne voulait pas être un chien vous cueille sans crier gare. Avec un Philippe Léonard au sommet de son art et une lumineuse Lucia Palladino. Ces deux-là vont nous emporter dans un vrai récit d’enfance et d’humanité, émouvant en diable et intelligemment théâtralisé grâce à la mise en scène épurée d’Olivier Lenel et à l’écriture toujours aussi sincère de Philippe Léonard. C’est tout simplement à ne pas rater.
(Laurence Bertels, La Libre Belgique)

Au départ du projet de Mathieu Najean, il y a les chansons du Great American Songbook, des chansons inspirantes mais qui ne sont pas souvent jouées, telles que Where or When, You can Depend on me, There is a small hotel, With the Wind and the rain in your hair… Tous ces thèmes sont des merveilles mélodiques et harmoniques. Ce sont des compositions brillantes, incroyablement inspirantes.

Les musiciens se concentrent sur le swing, la détente, l’interaction et le son du groupe. Nourris aux mêmes disques de jazz, il leur est très facile de se mettre d’accord, avec cette sensation de grande facilité à jouer les uns avec les autres. C’est avant tout le plaisir qui les guide.

Pour l’enregistrement du CD à venir, ils élargissent le spectre des styles (de chansons brésilienne ou mexicaine à la musique de film de Jacques Tati, du jazz West Coast au Great American song book).
L’influence première est le son du jazz west coastdes années 50-60, d’où le titre de l’album West Side.

Après avoir parcouru le monde entier à la recherche des meilleurs tours de magie… Les Demented Brothers viennent vous présenter le fruit de leur travail. Un condensé de tentatives de faire de la magie époustouflante.
Après leur passage à La France a un incroyable talent et à America’s Got Talent, découvrez à Libramont, l’univers magiquement des Demented Brothers pour faire rire petits et grands pendant plus d’une heure de spectacle !

Alessandro Carocci et Simon Herlin forment un duo très complémentaire. L’un interprète un idiot, l’autre souhaite impressionner par son « professionnalisme ». L’un s’amuse lorsque l’autre tente de garder la face. On retrouve les codes de célèbres duos comiques, on pense à Laurel & Hardy ou encore à Chevalier et Laspalès. Et ça marche, au point où on entend les rires fuser très rapidement dans la salle au moindre tour de magie raté. (…)
C’est un spectacle familial dont les enfants raffoleront. Les plus grands apprécieront certainement de pouvoir tout simplement déconnecter de la réalité. Les Demented Brothers ne se prennent pas au sérieux et entendent instiller cet état d’esprit à travers toute la salle. C’est un spectacle parfait pour partager un moment culturel en famille. On en ressort léger, joyeux et de charmante humeur.
(Sara Cernero, Le Suricate)

Après le succès de Les autres, primé à de nombreuses reprises, la Compagnie Anton Lachky nous revient avec un tout nouveau spectacle.
Pour Absurde, le chorégraphe Anton Lachky invite ses danseurs à arpenter les sentiers tumultueux, ardents, du surréalisme. Convertis à l’infinité du possible, les corps s’entrelacent, se multiplient, se dédoublent. Des personnages surgissent, frappés d’un irrésistible entrain, des histoires s’entrechoquent, indéfinissables, impossibles à réduire en un tout intelligible et résolu. La danse, échappée du pli de l’instant est un déferlement de force, d’exploits en tout genre.
De cette énergie furieuse et exaltée, naissent des instants chorégraphiques d’une prodigieuse intensité, qui obnubilent et fascinent.

Après une formidable incursion dans le spectacle « jeune public » avec Les autres, Anton Lachky avait une envie basique pour sa nouvelle création : une liberté totale. D’où le titre, Absurde, permettant de partir dans toutes les directions. Et c’est bien ce que fait cette chorégraphie aussi complexe que multiforme, passant de moments explosifs à d’autres contemplatifs, donnant parfois l’impression d’une narration pour replonger l’instant d’après dans l’abstraction totale… Un formidable moment de danse porté par huit interprètes en état de grâce.
(Jean-Marie Wynants, Le Soir)

Cette conférence explore les photographies de la Bataille des Ardennes comme instruments de communication stratégique.
À travers une sélection d’images prises par des photographes allemands, américains et britanniques, Hugues Wenkin analyse comment chaque cliché, loin d’être neutre, répond à des objectifs précis : propagande, mobilisation, justification des actions militaires. En décodant les intentions des photographes et de leurs commanditaires, cette rencontre propose une lecture critique de l’image de guerre. Un retour historique sur l’usage de la photographie comme outil de persuasion depuis le XIXe siècle permettra de mieux comprendre comment, en 1944, l’image devient un champ de bataille idéologique.

Cette conférence s’adresse à tous ceux qui souhaitent interroger le pouvoir des images, leur rôle dans la construction de la mémoire collective et leur capacité à influencer les perceptions. Une invitation à voir autrement, à penser l’image comme discours, et à redécouvrir la bataille des Ardennes à travers le prisme du regard.

Il était une fois… dans les Temps Lointains…dans un rêve qui traversa les mondes…Une vaste forêt, des enfants aux pouvoirs étonnants, une guérisseuse, une renarde, une vieille aux traces étranges… 

Trois histoires orales reliées, faites de mots, d’images et de musique.
Suivre la vie d’un petit village au cœur profond d’une forêt imaginaire et immense des temps premiers. Une aventure pour les enfants et les adultes, des rêves éveillés à la fois vivifiants et rieurs !
Une ode à la vie sauvage, au temps circulaire, aux mondes qui s’entrecroisent…
Histoires inspirées de récits et motifs de la tradition inuit, tressées avec certains de nos rêves.

Complices à la scène comme à la campagne depuis 2011, la conteuse Anne Borlée et le musicien Gilles Kremer ont créé la compagnie Renard Noire qui promeut l’art populaire et onirique à travers le conte et la musique (spectacles, ateliers, formations, projets) en défendant une culture de transition, un lien effectif à la Terre et un engagement pour la convivialité intime et l’art de proximité.

Je me rappelle quand on m’a demandé d’écrire mon travail de fin d’étude en droit… J’avais tellement pas d’inspi que j’ai fini par écrire des punchlines.
Aujourd’hui : on me demande d’écrire le pitch de mon spectacle…
J’ai toujours pas d’inspi, mon gars.
Mais les punchlines, elles ne manquent jamais !
Qu’est-ce que tu veux que je te dise ?
Je suis née comme ça.
Indomptable comme les lions.
Et inévitable… comme la drache à Bruxelles.

Entre deux cultures, Sarah Lélé transforme son vécu pour nous proposer un premier spectacle cash, malin et sincère !

C’est une gamine de 22 ans. Qui n’a peur de rien. Qui semble monter les marches du succès avec une force tranquille. Qui vient de quitter, en janvier, sa Belgique natale pour « monter à Paris ». Et à qui, déjà, d’aucuns dans le milieu du stand-up prévoient une ascension fulgurante. La « gamine », petite par la taille, grande par le talent, s’appelle Sarah Lélé. Elle a grandi entre Anderlecht et Braine-le-Château. Elle ne manque pas d’assurance. Sur scène, elle a la maturité d’une vieille habituée de la scène humoristique.
(Nicolas Crousse, Le Soir)

La 3e édition du Festival de Théâtre Amateur de Centre Ardenne se déroulera durant la première quinzaine du mois d’avril 2026.

Les dates exactes et la liste des troupes participantes seront communiquées sur cette page dans le courant du mois d’octobre et la billetterie sera ouverte dès février.

Nul doute qu’après les succès des deux premières éditions, le Festival 2026 rencontrera lui aussi un franc succès auprès d’un public de plus en plus nombreux.

Cliquez sur le bouton RESERVER pour être tenu.e au courant de l’ouverture de la billetterie.

Et si changer de point de vue ne passait pas par la tête… mais par le corps ?
Une conférence à la croisée de l’inspiration et de l’expérimentation, pour explorer un regard neuf sur vous-même et sur les autres.
Plongez dans une expérience inédite où le mouvement devient levier de transformation.
Découvrez comment votre manière de bouger influence vos perceptions, vos interactions et votre façon de collaborer — même dans les situations les plus complexes.

La conférence peut être complétée par la participation à un atelier pratique, donné le vendredi 17 avril à 19h au Centre culturel.
La participation à l’atelier est gratuite pour les personnes ayant suivi la conférence (mais l’inscription obligatoire).
[plus d’infos sur l’atelier]

Cet atelier de 3h va changer votre manière de bouger, de penser et de communiquer !
Vous allez découvrir le fonctionnement unique de votre système de mouvement et de perception, activer votre dynamique motrice et cérébrale pour mieux vous faire comprendre et aider les autres à se mettre facilement en action.Durant ces trois heures vous vivrez une expérience humaine irremplaçable, interactive, bluffante, ludique et innovante ! Votre propre mode d’emploi enfin révélé !

Cet atelier vous permettra par la suite de booster la qualité des échanges et développer une collaboration fluide et efficace tant au niveau personnel que professionnel…

Sa Majesté Le Grand Tumulte 1er ne parvient pas à dormir… Alors le Petit Chambranlant tend l’oreille et multiplie les surveillances.
Mais il a beau faire inspecter, calfeutrer le Palais et en appeler aux experts, personne ne parvient à identifier l’origine sonore de cette royale insomnie.
Du Nord au Sud du pays, chacun s’accuse et ça dégénère…

Avec un art consommé de conteur, le comédien fait surgir une multitude de personnages en modifiant simplement quelques détails de son apparence et, particulièrement, de sa gigantesque fausse moustache. Mais il a beau déployer tous ces efforts, faire appel aux généraux, à la juge de la Cour suprême et à quantité d’autres personnages, le mystère reste entier. Jusqu’à ce qu’il rencontre dans le désert la vendeuse de vent et de bruit… Une petite pépite (…).
(Jean-Marie Wynants, Le Soir)

Le projet voit le jour en 2022 autour d’un trio complice : le pianiste Igor Gehenot, le contrebassiste Sal La Rocca et le batteur Umberto Odone. À l’origine, leur volonté est simple : jouer des standards de jazz qui apportent du réconfort, dans un esprit de retour aux sources, après les bouleversements de la crise sanitaire. Ensemble, ils revisitent avec fraîcheur et vitalité les grands noms du post-bop de Freddie Hubbard à Lee Morgan, en passant par Mulgrew Miller et Nicholas Payton.

C’est de cette première impulsion qu’émerge Shining Face, le nouvel album du pianiste. Dédié à son fils, ce nouvel opus se distingue par un fil conducteur clair : le goût du swing et de la mélodie. Dans la continuité de ses albums précédents, Igor Gehenot affirme plus que jamais sa signature musicale : une écriture ciselée, une sensibilité harmonique et une profonde cohérence artistique.

Portée par une alchimie évidente entre les trois musiciens – déjà réunis au sein du Sal La Rocca Quintet – le projet évolue en quintet avec l’arrivée de deux solistes majeurs de la scène belge : Jean-Paul Estiévenart à la trompette et Steven Delannoye au saxophone ténor. Entre compositions originales et relectures inspirées de standards, le nouveau groupe du pianiste Igor Gehenot explore un répertoire post-bop vibrant, à la fois exigeant et accessible.

Le papa de Louison est un grand magicien…
Un jour, il a voulu réaliser un grand tour : « La Grande Disparition »… Et il a raté. Depuis les choses ne sont plus tout à fait comme avant… Louison a grandi et elle ne s’émerveille plus des petits tours de magie, désormais, elle veut percer les grands secrets. Et son père en a un… Grand. Et bien gardé.
Comment faire pour renouer le dialogue avec son père ? Comment lui faire comprendre qu’elle est bien assez grande ? Comment accepter qu’il ne soit pas si génial ? Et surtout…C’est qui ce mec bizarre avec qui il passe toutes ses journées… ?
Aussi drôle que profond, un récit initiatique pour petit·e·s et grand·e·s, dans lequel la magie perfore nos failles les plus intimes, pour venir à bout des mystères qui s’y cachent.

Dans un univers visuel enchanteur, les trois interprètes de Tadam creusent un sillon poétique entre l’enfance et le monde des adultes, au sein duquel le réel et l’illusion s’entrechoquent sans cesse, pour dévoiler le merveilleux sous toutes ses coutures. Aussi drôle qu’audacieuse, cette fable est aussi émaillée de métaphores sensibles, qui élargissent le champ de nos interprétations. S’il est question d’échecs, il ne s’agit pas simplement de ceux auxquels on joue, mais également de ceux que l’on cherche à oublier, par honte, ou par peur. Tous ces petits ratés, ces moments de faiblesse, ces discrets renoncements que l’on préfèrerait cacher mais qui, pourtant, nous constituent. Et si, pour mieux nous reconstruire, nous commencions par accepter nos failles ? Spectacle réparateur et lumineux, Tadam nous rappelle qu’au fond de nos cœurs sommeille le plus grand des pouvoirs magiques : la richesse de notre imaginaire, et la puissance de notre vulnérabilité.
(Jean-Gabriel Vidal)

Notre bonne habitude, c’est de clôturer la saison culturelle avec la dernière création de notre troupe de théâtre amateur, Les Joyeux Larrons ! Histoire de se payer une belle tranche de fous rires avant le farniente estival…

Bloquez déjà la date du 20 juin 2026 dans votre agenda !

Ce soir, les projecteurs s’allument, la scène est prête, l’arbitre lustre son kazoo… Et deux équipes survoltées sont prêtes à en découdre dans un duel d’improvisation sans merci !
D’un côté, Les Improglios, véritables funambules du chaos, manient l’absurde et la créativité comme personne. Leur devise : “Pourquoi faire simple quand on peut faire imprévisible ?”
De l’autre, l’Habérézina, stratèges du verbe et maîtres du retournement de situation. Ils foncent tête baissée dans les thèmes les plus improbables avec une énergie débordante et une bonne dose d’autodérision.
Au programme : des histoires inventées sur le vif, des personnages loufoques, des scènes touchantes, et surtout… Votre voix, chers spectateurs, pour voter à la fin de chaque improvisation !
Qui saura vous faire rire, vous émouvoir, ou vous surprendre le plus ?
Qui repartira avec les honneurs… et qui goûtera à la défaite théâtrale ?
À vous de juger. À eux de jouer.