Agenda
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Exposition
VIV’LA DIFFÉRENCE !
À l’initiative du service ASSILUx (Association Socialiste pour la Santé et l’Inclusion en Luxembourg), plusieurs classes de 6e primaires se sont lancées dans la création d’œuvres artistiques collectives sur les thématiques de l’inclusion et de la différence. Un vaste sujet, très inspirant pour les jeunes et qui mérite qu’on lui fasse de la place au sein de nos réflexions et de nos pratiques artistiques.
L’exposition présente les œuvres des élèves et leurs interprétations du sujet dans différentes disciplines : dessin, sculpture, peinture, collage… Un concours est à la clé pour déterminer la création qui sort du lot et ainsi offrir aux élèves de la classe lauréate l’occasion d’une sortie éducative.
N’hésitez pas à passer la porte affn de venir admirer leurs créations et voter pour votre oeuvre préférée !
(Le vote est possible sur la page Facebook d’ASSILux également). -
Cinéma, Filmystère
Filmystère
Le Filmystère est un film d’auteur présenté en VOSTFR et sorti en salle durant l’année écoulée, et dont vous ne découvrez le titre qu’une fois assis.e dans la salle.
Le Filmystère vous l’appréciez après une présentation par Michaël, notre Monsieur Cinéma, et vous en discutez avec les autres spectateurs, après la projection, autour du bar et avec une dégustation en lien avec le film.
Et en plus, vous participez à un tirage au sort qui vous permettra peut-être de gagner une entrée gratuite pour un des spectacles du CCLIB.
Alors vous attendez quoi pour réserver votre place ? On vous attend !
Cliquez sur ce lien pour connaître les Filmystères passés.
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Jeune public, Théâtre
Jean de la Lune
Seul habitant de la Lune, Jean s’ennuie un peu. Perché là-haut dans le ciel, il aimerait descendre sur la Terre pour s’amuser avec les humains. Soudain, une comète qui passait par là le frôle. Sans hésiter, Jean s’y accroche et atterrit sur notre planète. Mais sa venue déclenche la panique et bien vite soldats et policiers sont envoyés pour l’attraper et le jeter au cachot.
Séduite par la poésie et l’optimisme d’un personnage enfantin qui pose un regard résolument optimiste sur une société totalitaire, la Compagnie Dérivation signe une adaptation théâtrale de l’album pour la jeunesse de Tomi Ungerer afin de questionner la nécessaire désobéissance aux ordres absurdes.
Les enfants à partir de 4 ans sont invités à poser un regard personnel sur le monde qui nous entoure et à s’ouvrir à l’inconnu en suivant les aventures du doux extraterrestre Jean de la Lune.Avec l’énergie et le pétillant qu’on lui connait, la Compagnie Dérivation met en scène une version décoiffante et attachante de cette fable sur l’indispensable désobéissance face aux ordres absurdes.
Théâtre de la Montagne Magique -
Conférence/rencontre
À la découverte de nos chapelles (des villages de Bras, Freux, Rondu, Séviscourt)
Les chapelles font partie de notre patrimoine rural et de notre paysage depuis de nombreuses décennies. Il nous arrive même de passer à côté sans y prêter attention, notre regard étant habitué à leur présence. Mais connaissons-nous leur histoire et les raisons de leur construction ? C’est ce que nous allons découvrir.
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Concert, Jazz
Treehouse Days
C’est en cherchant un bassiste pour son précédent projet, Songs of Old, qu’Emily a croisé le chemin de Boris. De cette première collaboration est née une grande complicité musicale et humaine. Treehouse Days est né en 2022 de cette recherche d’espace, d’authenticité, et de complémentarité entre la voix et la contrebasse.
Treehouse Days explore la relation espiègle entre la voix d’Emily Allison et la contrebasse de Boris Schmidt et regarde le monde à travers les yeux des êtres vivants et objets qui nous côtoient au quotidien. Que vivent les arbres aux côtés des humains depuis la nuit des temps ? Quelles rencontres étonnantes un banc public fait-il chaque jour ? Que ressent un bébé au moment de son arrivée dans un nouveau monde ? Les textes sur mesure viennent habiller les compositions d’Emily Allison et de Boris Schmidt, et côtoient quelques chansons connues et réinventées, le tout dans un style que l’on pourrait qualifier de jazz-folk indie. Un échange intimiste au parfum de l’époque insouciante des cabanes dans les arbres.
Dans le cadre du Jazz Tour, ils présenteront leur dernier album tout simplement intitulé Treehouse Days et qui sortira le 14 mars 2025 sur le label Hypnote Records.
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Théâtre
2e Festival de Théâtre Amateur de Centre Ardenne
Après une première édition plus que réussie où vous avez été près de 2.000 à venir découvrir ou redécouvrir les pièces des troupes de théâtre amateur, nous remettons le couvert en 2025 !
Cette année nous sommes heureux d’accueillir, quatre nouvelles troupes dans un programme étoffé et dans lequel vous trouverez certainement votre bonheur !Comptez bien : du mardi 1er avril au dimanche 13 (avec une pause les 7 et 8 pour – ne pas – souffler), ce ne sont donc pas moins de 11 soirées qui seront dédiées au théâtre amateur, et à ces comédiens en herbe qui s’investissent à fond pour nous divertir et nous enchanter !
Voici le programme complet (cliquez sur le titre pour en savoir plus) :
Mardi 1/4 à 20h : La pomme de la discorde | Les Joyeux Larrons (Libramont)
Mercredi 2/4 à 20h : Lorsque le rideau tombe | Les Bahuteurs (Tronquoy)
Jeudi 3/4 à 20h : Oscar | Le Théâtre du Papillon (Libin)
Vendredi 4/4 à 20h : Les belles sœurs | Le Théâtre des Explorateurs (Vaux-sur-Sûre)
Samedi 5/4 à 20h : Basile en cavale | La Troupe Montauban (Grandvoir)
Dimanche 6/4 à 16h30 : Mon dju ! Mon dju ! tot… mès nin sa ! | Cercle wallon de Vesqueville
Mercredi 9/4 à 20h : Une audition pas comme les autres | Académie de Bouillon + Pause Caddie | Théâtre Saint-André (Ochamps)
Jeudi 10/4 à 20h : Le diable au cor | les Chats R’latants (Neuvillers)
Vendredi 11/4 à 20h : C’est la belle nuit de Noël | Théâtre de la Chapelle (Assenois)
Samedi 12/4 à 16h30 : Spectacles de Minis Charlots (Freux)
Samedi 12/4 à 20h : Grand-mère est amoureuse | Les Charlots (Freux)
Dimanche 13/4 à 16h30 | L’Ardènète s’la digue | La Concordia (Arville) -
Concert, Jazz
Macondo Trio
Macondo, c’est avant tout une rencontre : celle du saxophoniste belge Sylvain Debaisieux et du batteur béninois Angelo Moustapha. Ils se croisent pendant le confinement, lors de sessions improvisées dans les rues de Watermael-Boitsfort. La connexion musicale est immédiate : très vite, ils partagent la richesse de leurs parcours respectifs, s’échangent des morceaux, apprennent à connaître la musique de l’autre, dans un respect mutuel et une amitié grandissante au fil des mois. Après des concerts en duo, ils s’entourent du contrebassiste Federico Stocchi pour enregistrer leur premier EP Macondo, sorti en décembre 2022.
Macondo Trio présente une musique originale et personnelle, mêlant compositions et cantiques réinterprétés. L’esprit du jazz et la place à l’improvisation sont bien présents, ce qui rend la musique fraîche, accessible, et à chaque fois pleine de surprises. Le son du trio saxophone-basse-batterie poursuit une tradition qui a marqué ses preuves au fil des époques et laisse de la place à chaque musicien pour s’exprimer. Le Trio entraîne le public dans un lieu où le temps est relatif, où les cycles s’entremêlent et les mélodies restent ancrées dans les corps et les esprits. Les musiciens s’y retrouvent pour y vivre un moment de partage, de dialogue et de communion. La fusion des énergies se transmet au travers de grooves envoûtants, de motifs répétitifs et d’improvisations débridées. L’histoire se répète, n’est jamais la même
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Conférence/rencontre
Rommel traverse les Ardennes en 1940
Le célèbre Maréchal Rommel est passé deux fois dans nos contrées. Une première fois en Gaume en 1914, une seconde fois dans le nord des Ardennes en mai 1940. Qui était vraiment ce général pratiquement sanctifié après guerre ? Comment se battait-il ? Était-il aussi chevaleresque qu’on le prétendait ? Les dernières recherches à son sujet permettent de dresser un autre portrait du personnage : chef de guerre implacable et nazi carriériste. Chef d’une division blindée en 1940, il est le premier à atteindre les rives de la Meuse. Retour sur ce trajet impétueux à la tête de ses Panzer à travers nos Ardennes.
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Exposition
Pix’celtes
Pix’celtes : Les Celtes dans la Pop Culture
L’univers celte, riche de mythes, de légendes et de symboles fascinants, continue d’inspirer les artistes d’aujourd’hui dans des disciplines très variées. L’exposition Pix’celtes explore la présence et l’évolution de cette culture millénaire dans la pop culture contemporaine, des bandes dessinées aux jeux vidéo, du cinéma à la musique, en passant par la littérature et l’art du tatouage.
À travers un parcours immersif et interactif, découvrez comment les figures emblématiques des Celtes – druides, guerriers, dieux et héroïnes légendaires, bardes – ont été réinterprétées et adaptées aux imaginaires modernes. Pix’celtes dévoile l’impact culturel et l’héritage toujours vivant des peuples celtiques.
Entre tradition et modernité, cette exposition s’adresse autant aux passionnés d’histoire qu’aux amateurs de pop culture, offrant une plongée fascinante dans un univers où le passé dialogue sans cesse avec le présent. Venez percer les mystères de l’âme celte et découvrir comment, sous différentes formes, elle continue d’influencer notre imaginaire collectif.
Bienvenue dans l’univers de Pix’celtes !
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Conférence/rencontre
L’habitat forestier : une archéologie naturelle méconnue
L’habitat forestier saisonnier, provisoire et temporaire des bûcherons est défini indistinctement par le mot hutte, loge, cabane, voire même cul de loup en Sologne (France).
Il n’existe pas de règle de vie invariable et absolue, entre tous ces ouvriers forestiers, ces gagne-petit, mais bien une juxtaposition de cas particuliers. Logiquement, chaque bûcheron organise sa vie selon de très nombreux critères personnels : sa situation familiale, son aptitude professionnelle, la proximité ou non de la forêt par rapport à son village, son esprit d’entreprise pour quitter les siens pendant plusieurs mois.
Deux grands types de construction se dégagent : la hutte conique, modeste et abri provisoire ainsi que la hutte rectangulaire, plus grande et plutôt réservée à une famille.
La vie des Hommes est canalisée inexorablement par le Temps, la technologie ne cesse d’évoluer, de se complexifier, de se mécaniser, mais le travail forestier poursuit sa propre vie de manière indépendante
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Jeune public, Théâtre
In petto (interno)
In petto (interno), spectacle absurde et tragicomique à voir à partir de 5 ans, raconte les vies bancales de deux clowns musiciens errants.
Ces clowns musiciens souhaitent présenter leurs morceaux de musique au public, aussi malmenés qu’ils soient par leurs maladresses, leur environnement ou leurs accessoires désarticulés. La charrette qui les abrite, à la fois logis, loge et promontoire, est en équilibre instable sur l’axe unique de ses deux roues. Elle bascule sans cesse, les balance d’un côté à l’autre, elle les fauche, les expulse et les tourmente. Ils y grimpent, se servant d’un escalier bancal fait de leurs valises amoncelées.
Les musiciens célestes sauveront le spectacle en jouant bon gré mal gré leur valse délicate, pour deux ukulélés. Ils trouvent, là, dans un moment suspendu, un compromis, un équilibre précaire, une solution salutaire qui leur permet de poursuivre la route, le chemin de leur vie.On a retrouvé le talent de la compagnie Okidok, leurs acrobaties loufoques, leur langage corporel, l’ukulélé, les mimes, leurs improvisations et leurs maladresses clownesques. Une folie singulière qui séduit toujours et qui emmène le public.
Le Soir -
Danse
Le Sacre du Printemps + Pyxis
La compagnie de danse contemporaine Opinion Public – dont nous avions programmé le spectacle So’far en novembre 2022 -, ancrée dans le paysage artistique belge depuis plus de 13 ans, s’engage pleinement dans sa mission de transmission en lançant son jeune ballet, le Junior Ballet Project (JBP), dédié aux danseurs de 17 à 25 ans. Cette initiative témoigne d’un engagement significatif envers la formation d’une nouvelle génération de danseurs, en partageant l’exploration du style distinctif qu’elle a développé depuis sa création en 2010.
Le JBP, composées de jeunes danseuses venant de différents pays européens, présentera ses deux premières créations lors d’une soirée unique à Libramont :
Pyxis (40 min.)
Voyage chorégraphique qui transporte le spectateur au-delà des frontières du réel, à travers une mystérieuse boîte qui ouvre des portails vers d’autres mondes. Ce n’est pas une simple boîte : elle renferme des univers où les lois de la nature changent, où la mémoire se perd et se retrouve, et où l’espace et le temps se tordent et se confondent. Dans cet espace énigmatique, les personnages, guidés par la danse, s’engagent dans une exploration de l’inconnu. Au cœur de cette odyssée, les danseurs évoluent entre la confusion, l’émerveillement, et la perte de soi, naviguant entre souvenirs fragmentés et futurs incertains. La « Pyxis » devient alors le symbole d’une quête profonde : celle de redéfinir les limites de notre perception et d’embrasser l’inconnu.Le Sacre du Printemps (30 min.)
Dans un monde où tout est calibré, chaque geste, chaque pensée, chaque identité formatée par une société obsédée par le contrôle, une force inattendue se réveille. Des instincts anciens, primordiaux, se libèrent, échappant aux chaînes de la modernité. Le Sacre du printemps devient une explosion de tensions, un combat viscéral entre civilisation et nature. À travers la danse, assistez à la chute d’une figure centrale, symbole d’une société qui tente de contenir l’incontrôlable. Le sacrifice final ne signe pas la fin, mais une renaissance sauvage, où l’énergie brute de la nature reprend ses droits. -
Jeune public, Théâtre
POp!
Quand on arrive dans le monde, on n’y connait rien, on doit tout découvrir ! Apprivoiser son corps, se confronter à son image et se construire une identité. Quelle porte faut-il ouvrir, quelle couleur choisir, quel vêtement porter ? Qui veut-on devenir ? Comment se définir sans être rangé.e dans une case ou finir dans un tiroir étriqué ? Et que faire lorsque son propre reflet décide de s’en mêler ?
Tels sont les tiraillements et les interrogations du personnage, une sorte de poupée asexuée qui émerge d’une armoire et découvre qu’elle est vivante. Se confrontant ensuite à son image dans le miroir, celle-ci finira par s’incarner sous forme d’un double en tous points identique, mais dont la volonté s’avèrera être parfois divergente de la sienne. Mais comment faire quand votre reflet ne vous suit pas ? Ou quand votre être semble se séparer en deux entités distinctes ? Les désirs conflictuels internes du protagoniste prendront ainsi vie sur le plateau, le poussant à choisir ou à s’assumer face à la pression sociale.
Un spectacle visuel à voir à partir de 6 ans.Mime et complicité sont au rendez-vous de ce spectacle visuel qui joue sur les contrastes et le comique à répétition dans un registre clownesque où claquent les portes, où s’ouvrent les tiroirs, où se déploient des bras inattendus au sortir d’une armoire pleine de ressources mais aussi de cravates, de chaussettes dépareillées, de soutiens gorge ou de robes de bal. De quoi se déguiser à l’infini, devenir l’autre et se jouer des apparences pour désarçonner les spectateurs.
Laurence Bertels, La Libre Belgique
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Théâtre
Les portes du Néant
La Résidence des Champs fleuris n’est plus que l’ombre d’elle-même. Cet immeuble à appartements, autrefois prestigieux, n’abrite plus que quelques propriétaires, outre la concierge, Mme Garibaldi : les sœurs Verlaine, Mathilde et Félicie, le colonel à la retraite Gérard Manfroy et le couple Dormeur-Duval. Ce dernier couple a acheté tous les appartements restants, au fur et à mesure que partaient leurs occupants.
Mais depuis quelques semaines, de nouveaux venus s’installent. Ces derniers ne sont cependant pas vus d’un bon œil par les anciens. C’est que les Dormeur-Duval louent les logements vides à ce qu’on peut appeler des marginaux : un repris de justice, porteur d’un bracelet électronique ; une junkie ; un sdf ; un gourou auto-proclamé voyant et une échappée de l’asile.
Mais quel plan machiavélique les Dormeur-Duval fomentent-ils ?
« Les portes du Néant » est la dernière création originale des Joyeux Larrons, troupe du Centre culturel Le Totem. Les 12 comédiens ont été assistés par Christian Schandeler pour l’écriture et par Anne-Sophie Krier, de l’Ananas Givré, pour la mise-en-scène.